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L’eau, célébrée chaque 22 mars, est l’élément le plus vital sur terre. Mais la disponibilité de cette ressource indispensable à la survie de l’homme n’est pas chose effective dans toutes les régions du monde. Sa quantité réelle accessible est estimée à 0.7% sur la planète, synonyme de son manque dans les zones reculées surtout les milieux désertiques. En Afrique, particulièrement au Bénin, beaucoup d’ efforts restent à consentir pour rendre accessible l’eau potable aux populations des campagnes. Le thème (Ne laisser personne de côté) de la journée mondiale de l’eau de cette année 2019 est plus illustratif de l’enjeu social que représente l’eau . Les décideurs, à travers ce thème, ont compris l’urgence de construire des infrastructures pour permettre à tous d’avoir accès à l’eau potable.
D’aucun n’ignore les maladies hydriques dont sont victimes les populations. Elles, surtout les enfants de moins de cinq ans, meurent de diarrhées causées par la consommation de l’eau insalubre . C’est pourquoi la Fondation VISSIN, tout comme d’autres organisations humanitaires, suggère que le droit à l’eau soit reconnu comme un droit universel dans les cadres juridique et réglementaire. Elle invite de ce fait, le gouvernement, les partenaires techniques et financiers, les organisations d’oeuvres sociales et humanitaires à faire mieux en menant des actions plus orientées dans le sens de permettre aux couches isolées de bénéficier d’infrastructures comme des forages afin de consommer une eau saine.

Wilfried AGOUNDJEKPO/DP